« Il n’est pas encore tard pour la paix ; mais plus tard, il peut être trop tard », CIAAF

Expédit Ologou

Trois chercheurs de la CIAAF, entendez Civic Academy for Africa’s Future, ont produit un document de 30 pages dans lequel ils alertent sur la menace qui pèse sur la paix.

Les conditions d’organisation de la présidentielle de 2021 pourraient être source de tension sociale et politique dans le pays. Pour prévenir d’éventuels troubles sociaux qui pourraient naître de la présidentielle de 2021, trois chercheurs de la CIAAF estiment que quelque chose est encore possible pour sauvegarder la paix.

Il s’agit de Expédit Ologou, Thierry Sèdjro Bidouzo et Emmanuel Koukoubou. Dans un document intitulé « Il n’est pas encore tard pour la paix ; mais plus tard, il peut être trop tard », les trois scientifiques alertent sur les risques de tension liés à la présidentielle de 2021.

A en croire ces trois personnalités, « les obstacles posés sur le trajet vers une élection présidentielle inclusive et apaisée devront être sautés pour rendre l’expérience électorale de 2021 moins périlleuse et moins meurtrière que celle de 2019« .

Pour Expédit Ologou et ses amis de Civic Academy for Africa’s Future (CIAAF), cette option militerait plutôt pour l’œuvre de consolidation de la démocratie béninoise.

La Civic Academy for Africa’s Future (CIAAF) se veut un espace intellectuel qui contribue au renouvellement de la pensée sur l’Afrique à partir d’un lieu privilégié d’observation qu’est le Bénin.

En tant que tel, il est un cadre de réflexion et de débat sur les transformations politiques, socio-économiques, le devenir et l’avenir du Bénin et de l’Afrique. Il s’intéresse aux questions stratégiques qui conditionnent l’avenir du continent.

L’alerte des trois experts de CIAAF