Violences électorales au Bénin : Boni Yayi ou l’apologie du mal ?

Mercredi, Cotonou était « à feu et à sang » suite à une supposée tentative d’arrestation de l’ancien président de la République Thomas Boni Yayi. Le dimanche 28 avril 2019, le scrutin législatif était marqué par des actes de violences dans plusieurs localités du nord favorables à l’ancien chef d’Etat Boni Yayi. Coïncidence ou incitation à perturber le processus électoral qui souffre déjà de certaines irrégularités ? 

Le dimanche 28 avril, les béninois étaient appelés aux urnes pour renouveler les membres du Parlement dans un contexte de crise politique caractérisée par « l’exclusion » de tous les partis politiques de l’opposition du processus électoral. Malgré les appels au consensus en vue du dénouement de la crise, le gouvernement Talon s’est obstiné à conduire le processus jusqu’à son terme. Mais c’est sans compter sur la volonté manifeste des acteurs politiques de l’opposition de le faire échouer.

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« Pas d’élection sans l’opposition ». C’était le mot d’ordre, à quelques jours du scrutin, de plusieurs ténors de l’opposition notamment le président de l’Assemblée Nationale, Adrien Houngbédji et les anciens présidents de la République Nicéphore Soglo et Boni Yayi. Ce mot d’ordre perçu comme un appel au boycott du scrutin du 28 avril, se serait-il traduit en appel à la radicalisation des militants de l’opposition de certaines régions du pays contre le processus électoral ? On ne saurait être affirmatif, mais à l’analyse de la chronologie des faits, on est bien tenté de croire que le mot d’ordre de l’opposition avait un double sens.

Pourquoi dans le septentrion?

Selon le premier point du scrutin législatif fait par la plateforme électorale des Organisations de la société civile, 286 incidents ont été enregistrés le jour du vote majoritairement dans le Nord Bénin. Des actes de vandalisme ont été donc notés sur le matériel électoral ainsi que sur les biens des personnalités politiques de la mouvance, deux pertes en vie humaine seraient aussi à déplorer. S’il est vrai que ces différents incidents ont conforté le moral des acteurs politiques qui se sont sentis exclus du processus électoral, il n’en demeure pas moins vrai qu’ils ne sont pas des actes isolés.

Deux semaines avant le scrutin, la tension était montée d’un cran dans certaines localités du pays. D’importants dispositifs sécuritaires avaient été pris pour le maintien de l’ordre public, gage du bon fonctionnement des structures administratives et économiques. Même s’il faut déplorer les frasques du ministre de l’intérieur Sacca Lafia contre les fauteurs de troubles, rares sont les acteurs politiques de l’opposition qui ont appelé les militants surexcités au calme et à la non-violence. Ancien chef d’Etat et leader de l’opposition, Boni Yayi était la principale figure de l’opposition qui a manqué à cet appel qui pourrait concourir à la paix en cette période sensible.

« Je ferai venir les miens du Nord… ».

C’était la menace attribuée en décembre 2013 à Boni Yayi, alors chef d’Etat, aux acteurs politiques opposés à son pouvoir qu’ils soupçonnent d’être à la solde de l’homme d’affaires exilé Patrice Talon avec qui, il n’est plus en odeur de sainteté pour des raisons de conflits d’intérêts au sommet de l’Etat. Devenu leader de la classe politique opposée au pouvoir de cet même homme d’affaires devenu président de la République, Boni Yayi aurait-il donc incité les siens du Nord à compromettre le processus électoral auquel lui et toute l’opposition s’y sentent exclus?

« Cela ne se passera pas ici, ils n’ont qu’à venir »

Ce mercredi 1er mai 2019, un détachement des forces de l’ordre a encerclé le domicile de l’ancien chef de l’Etat, Thomas Boni Yayi. La population une fois alertée, s’est fortement mobilisée pour empêcher, selon elle, l’arrestation planifiée de Boni Yayi. Dans la foulée, les dégâts non moins négligeables ont été enregistrés. Face à la presse, le ministre de l’intérieur Saca Lafia a démenti purement et simplement la tentative d’arrestation de l’ex-chef d’Etat Boni Yayi. Selon le ministre, il s’agit d’une fake news : « je peux vous assurer qu’aucun projet de l’arrestation de l’intéressé n’a existé contrairement à ce qui est relayé », précise le ministre Sacca Lafia.

Pour sa part, Boni Yayi n’a pas manqué de réagir face à la descente des forces policières aux alentours de son domicile : « Cela ne se passera pas ici, ils n’ont qu’à venir » a lancé Yayi Boni aux hommes du Géneral Hounonkpè Nazaire. Une déclaration qui sonnera comme un appel à la violence dans les oreilles de jeunes délinquants surexcités et au bilan, plusieurs magasins saccagés, pillés ou incendiés, des biens publics détruits,….

Boni Yayi aurait dû…

Pour plusieurs acteurs de la société civile, les violences  enregistrées le jour du scrutin du 28 avril sont condamnables. Lors de sa sortie médiatique le 29 avril 2019, Boni Yayi est resté muet sur les incidents relevés dans son fief le jour du vote. Attendus sur le terrain de l’apaisement des tensions, Boni Yayi et les ténors de l’opposition ont plutôt donné un ultimatum au chef de l’Etat, Patrice Talon, pour arrêter le processus électoral. Une attitude qui, selon certains observateurs, n’est pas de nature à arranger les choses dans le pays.

Ancien chef d’Etat ayant conduit des missions d’observation des élections en Afrique notamment au Mali et en République Démocratique du Congo, Boni Yayi a pourtant la caution morale nécessaire pour condamner les incidents du 28 avril 2019 au nom de la paix. Le silence entretenu par ce dernier sur les violences électorales qui ont touché en grande partie, les enfants de sa région natale semblent traduire implicitement sa caution ou du moins sa bénédiction. Mais ceci à quel prix et à quelle fin ?

[su_heading size= »17″]A lire aussi : Bénin – Législatives 2019: Jacques Migan souhaite l’interpellation rapide de Boni Yayi [/su_heading]

Ces hypothèses, interrogations et appréhensions, font tout de même croire que la rivalité entre l’ancien chef d’Etat Boni Yayi et Patrice Talon s’est déportée sur la scène politique et seuls les innocents ignorants en paieront le prix fort. En effet, selon le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, Sacca Lafia, les auteurs, co-auteurs et complices des actes de vandalisme le jour du scrutin seront punis conformément aux dispositions de la loi. Il faut évidemment donc s’attendre que des individus soient recherchés, traqués et interpellés par la Police.

Qui gagne quoi et qui perd quoi ?

Dans l’opposition béninoise, on semble se frotter fièrement les mains du fait que le scrutin du 28 avril soit émaillé des nombreux incidents. Des bureaux d’arrondissement ont été incendiés, des matériels électoraux saccagés, du matériel roulant de la police incendié, … la liste est longue. Mais tout ceci pourquoi ? Pour la démocratie ? Pour un processus électoral inclusif ? Pour contester le régime Talon ?

La capitale économique du Bénin, Cotonou, porte toujours les scelles de la révolte du peuple contre le président Boni Yayi quand celui a voulu mettre la main sur le député de l’opposition Candide Azannaï en mai 2015. Certains feux tricolores détruits à l’époque par les manifestants ne sont pas encore réparés. Aujourd’hui, Boni Yayi et Candide Azannaï sont des alliés politiques et les populations souffrent toujours des accidents et bouchons causés par le non fonctionnement des feux tricolores. Eu égard de cette situation, on est en droit de se demander à quand les biens collectifs détruits le 28 avril seront reconstruit aux bénéfices des populations ?

[su_heading size= »17″]A lire aussi : Bénin – Législatives 2019: l’Union Progressiste condamne les appels au soulèvement [/su_heading]

A trois jours des quatre ans de ce malheureux événement, un détachement militaire a encerclé le domicile de Boni Yayi au cœur de Cotonou. Sans connaître les réelles motivations de cet assaut militaire, les populations, conscientes des tensions qu’il y a actuellement entre les anciens chefs d’Etat et Patrice Talon, ont alerté que Boni Yayi est en état d’arrestation. La population s’est spontanément soulevée pour, dit-elle, empêcher l’arrestation de leur idole en cassant et en détruisant tout biens publics  ou privés sur son passage.

Il est donc évident que le grand perdant de toute situation d’instabilité politique est le peuple. Mais est-ce que le peuple en a réellement conscience ? Si pour Pierre Claude Victor Boiste dans Le Dictionnaire Universel, « La violence est le bras droit, et la ruse le bras gauche de la politique », au Bénin, les « adeptes de la violence » et les chantres de la « ruse » doivent savoir raison garder dans l’intérêt supérieur de la Nation, notamment dans l’intérêt des générations futures.

52 comments

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Navty

Je valide. Belle publication. Tout le monde devrait lire ceci pour comprendre l’aventure dans laquelle les politiciens veulent nous embarquer.

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Moutawakilou

Celui qui a écrit cet article manque cruellement d’objectivité. Pourquoi vous ne reprochez pas à Talon de s’être entêté à faire ce que quasiment tout le monde (beninois comme étrangers) lui a conseillé de ne pas faire (à part les faucons de son camps, qui attendaient les retombées de son coup de force)?
Des juristes émérites lui ont indiqué plusieurs voies de sortie possibles. Qu’en a-t-il fait ?
Des religieux, des hommes politiques, et des diplomates lui ont parlé. En a-t-il tenu compte ?
Combien de fois Boni Yayi l’a-t-il prévenu, par écrit, du caractère risqué de la voie qu’il empruntaiit ?
Il s’est entêté pensant que ses chars dissuaderaient le peuple de s’exprimer.
Ses thuriferaires (Jacques Migan, Distel Amoussou, Agapit Napoléon, Bruno Amoussou, pour ne citer que quelques uns) ont claironné qu’ils maîtrisaient le peuple.
Pourquoi alors espérer un appel au calme de celui qui ne maîtrise personne et que le peuple devait honnir (dixiti Bruno Amoussou)?
Et pour finir, vous voulez faire croire que c’est une affaire du nord. N’étiez-vous pas à Cotonou ce jour ? Ce sont les gens du nord qui ont empêché l’enlèvement programmé de Yayi et qui ont déferlé sur Cotonou ?
Comprenez que votre coup d’état (c’est bien d’un coup de force qu’il s’agit) à misérablement échoué. Échec et mat pour la ruse et la rage.
Ramenez la balle à terre et ouvez un dialogue politique sincère avec la vraie majorité (celle que vous avez tenté d’exclure).
Votre entêtement à ne pas accepter que le peuple vous a lâcheés vous conduira à la tombe.
Du moment qu’il n’y a eu ni agression extérieure, ni attaque terroriste, la responsabilité de tout ce qui arrive incombe au PR qui a manqué de maturité politique et de hauteur. À se comporter comme le président d’un camp contre l’autre, voilà où il nous a conduit.
Qu’il reprenne l’initiative de l’apaisement avant que le pouvoir ne lui échappe totalement (il lui a déjà échappé en grande partie).

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    Dosdou

    Merci monsieur. Je ne dirais pas mieux.

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    merveille

    merci à vous je suis parfaitement d’accord

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    Mama yaya

    Merci pour ce commentaire. La réaction des cotonois montre que c’est le peuple qui dit le dernier mot. Que Talon respect le peuple béninois.
    Il revient que mes journalistes fassent preuve d’objectivité dans leurs analyses.

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    Valentin

    TRES BONNE ANALYSE DE LA SITUATION . NOUS VOUS EN REMERCIONS

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    Jean Thomas

    Toutes mes félicitations très bien parler

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    Ahouansou

    Bonjour, je vous prie d’aller chercher la définition du mot « démocratie », car il semble vous échapper que force doit rester à la loi et qu’elle s’applique à tous. Qu’on soit d’accord ou pas.
    Si Talon prend une ordonnance pour céder aux caprices d’hommes sur la fin, c’est la porte ouverte à de réels dérives autoritaires.
    Vous n’imaginez pas ce que la violence engendre sur des générations.
    Les militaires vont finir par répondre de manière léthale.

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Nonbime

Il y a 2 gros contre-vérités dans votre article
1) Yayi n’a jamais dit « les miens du nord », mais « les miens du Bénin profond ».
2) Aucun leader de l’opposition ne s’est réjoui des incidents. Plutôt du fort taux d’abstention.
Vous pouvez me démentir en publiant les vidéos de ce que vous affirmez.
La situation est déjà assez tendue. Ne jouez pas les « radio mille collines ».

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Amelagbe

Article compketement null digne d’un racoleur de Jonquey qui se prend pour moralisateur !
Qu’est ce qui autorise ce plumitif mal k spire a traiter les manifestants de deki quants ?
Leur a t il demande leur casier judiciaire ?
Il nous parle desquelles des manifestations de 2015 et des embouteillages…
Faut il eyre aveugle pour voir qu’il y a plus f’embouteillages a Atinkanme ( ou il y a eu 0 manif) qu’q Zogbo ?
Epargnez nous des chiffons comme cet article d’un journaleux indigent , peinant a articuler 2 phrases et faisant des analyses au niveau des caniveaux!
Selon lui les feux tricolores ont plus de valeur que les libertes et les droits individuels..

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    Jean Thomas

    Vous vos propos sont moins instructifs et constructif dite plutôt ce qu’il faut pour sortir le pays du pétrin car je crois que la situation actuelle ne plait guère au Pouvoir nous voulons un issue a la situation afin que le béninois vit dans paix vous soutenez le PR dans ces faits pensez vous être en sécurité quand ça va chauffer

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    Ahouansou

    Vous perdez la raison cher ami et ne prouvez pas vraiment être plus avisé que celui que vous qualifié de « plumitif ».
    Vous péroré car vous êtes au Bénin sous d’autres cieux qui eux sont sérieusement autoritaires, vous raseriez les murs.
    Certains béninois sont à apparenter aux ‘gaulois’, de vrais enfants gâtés, qui veulent une chose et son contraire. Toujours prompts à se plaindre sans même être acteurs de leur existence

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Dona

Il me fait pitié ce journaliste aux écrits incendiers? Le Nord n’est il pas le bastillon de GBADAMASSI, BIO TCHANE, et consorts. Mais pourquoi cette fixation sur Boni Yayi? Ce combat du peuple est au-delà du politique, c’est un combat de survie.. Ecrivez sur Talon aussi.

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Moutawakilou

https://youtu.be/12sAIB7ax_U
Voici le lien de la vidéo de 1er août 2012.
Min 15:29 – « je vais leur montrer que moi aussi j’ai du minde derrière moi dans le Bénin profond ».
Min 16:35: « si ous faites comme ça, si moi-même je vais soulever les miens, ca va donner quoi?

A quel moment a-t-il dit « je vais faire venir les miens du nord »?

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sultan aziz

Mon frère moutawakilou…!!!

est il..nécessaire..de repondre..à ce type..!!
Moi personnellement je me félicite..de la disparition…définitive…du regionalisme..dans ce pays..ou il est pratiquement..impossible de situer quelqu’un politiquement…

Aujourdhui..les gens agissent..en fonction de leurs interets..perso

Cependant..ne nous voilons pas la face…et il quelque résidu….car en effet…..il y a des faits

tenez!…le fait de ne pas..ouvrir l’aéroport de parakou..est un acte régionaliste…pour retarder,voir empecher…le nord..dévoluer..et de s’émanciper..

Des propos tenus…par certains..dans les couloirs du pouvoir…..comme.. »c’est notre tour »…et fermez vos bouches…et vous ne pouvez rien…..sont des actes de régionalisme

Chabi sira korogoné….l’a dit…n’est ce pas…

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    Soldat

    Tiens tiens pour l’aeroport c’est pertinent je n’y avais pas pensé.
    Quel raisonnement de raciste
    C’est criminel
    Pourtant le sud n’attend qu’un meilleur acces au nord pour ne faire qu’un. Si ce n’est les esclavagistes fous qui nous divisent

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LaPaix

Bonjour,
Ces pseudo journalistes qui écrivent ces hérésies ont conduit notre pays au bord du gouffre. Ceux qui croient que l’on peut prendre de l’argent pour écrire et diffuser des contre vérités et soutenir le faux. On s’occupera d’eux lors de la prochaine conférence nationale pour que notre pays se dote d’une presse au service du développement de la nation. Je suis triste de lire cet article sur beninwebtv qui me donnait l’impression d’être un site d’information sérieux.
Dans le monde, quand un pays est au bord du chaos, pour éviter le pire, l’armée siffle la fin de la récréation. Il est temps que les officiers supérieurs de l’Armée béninoise prennent leurs responsabilités et demandent aux politiques d’arrêter cette situation catastrophique pour la nation béninoise.

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Ledoux

Ce journaliste doit avoir la trouille, car il n’a pas parle de l’auteur et les causes qui ont conduits a cette Situation. Ce Journaliste doit etre ne ( e ) apres 1991. C’est sür.

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SAS

J’invote Ce journaliste X ou Y à bien lire cet autre article du Journal burkinabé LE PAYS et à se rendre compte de la nullité de son torchon d’article digne d’un journaliste qui visiblement mange a la table obscure du régime de la ruse et de la rage .

PATRICE TALON ET LES LEGISLATIVES CONTESTEES AU BENIN : Reculer au risque de brûler le pays
http://lepays.bf/patrice-talon-et-les-legislatives-contestees-au-benin-reculer-au-risque-de-bruler-le-pays/

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    Jean Thomas

    Regardez aujourd’hui bien si le PR avait écouter les conseils et les appels a une élection inclusive je crois qu’il serait mieux vu aujourd’hui en de démocratie ceci a l’intention du PR vous êtes arrivé au pouvoir par une coalution pourquoi ne pas écouter votre concience qui doit vous le reprocher maintenant sachez que la tolérance n’est pas une faiblesse le béninois et ceux qui vous soutienne attend beaucoup de vous afin que le pays avance la démocratie n’est pas de se donner des coups ou de faire des règlements de comptes lorsque dans cet yayi a voulu vous mettre au arrêt n’est ce pas que malgré sa force en tant PR d’alors il a écouter les appels a la réconciliation et au respect au nom de la démocratie vous êtes arrivé aujourd’hui au pouvoir pourquoi ne pas enterré la hache et pensez au béninois qui vous ont élu pour la paix et l’avancement du pays comme vous l’avez dit l’échec n’est pas une fin en soi tout le pays de l’intérieur et de l’extérieur attend beaucoup de vous ne laissez pas cet échec ternir vos renommée car nous attendons et voir l’aboutissement des que vous avez commencé vive la république vive la démocratie

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Azazou

Journalisme médiocrité et irresponsable. La population qui s’est soulevée hier est-elle venue du Nord? Vouloir donner des relents régionalistes à la crise que traverse le pays du fait de Talon est le summum de la malhonnêteté.

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Parole du sage

Pour parler pour ne rien dire. Comprenez une fois pour de bon que la ruse et la rage du régime avec leurs propos incendiaires et criminels sont la résultante de toute la violence que vous déplorez aveuglément étant à la solde du régime. Qui des deux camps (mouvance et opposition) a amené la frustration du peuple a son comble, a porté un coup fatal à la démocratie et aux libertés d’expression malgré les alertes données à l’international sur les risques de violence… ? Je vous laisse à votre conscience

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Parole du sage

Vous parlez pour ne rien dire. Comprenez une fois pour de bon que la ruse et la rage du régime avec leurs propos incendiaires et criminels sont la cause de toute la violence que vous déplorez aveuglément étant à la solde du régime. Qui des deux camps (mouvance et opposition) a amené la frustration du peuple a son comble, a porté un coup fatal à la démocratie et aux libertés d’expression malgré les alertes données à l’international sur les risques de violence…? Je vous laisse à votre conscience

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Parole du sage

Vous parlez pour ne rien dire. Comprenez une fois pour de bon que la ruse et la rage du régime avec leurs propos incendiaires et criminels sont la cause de toute la violence que vous déplorez aveuglément étant à la solde du régime.

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Parole du sage

Qui des deux camps (mouvance et opposition) a amené la frustration du peuple a son comble, a porté un coup fatal à la démocratie et aux libertés d’expression malgré les alertes données à l’international sur les risques de violence…? Je vous laisse à votre conscience

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Valentin

Violences électorales au Bénin : Boni Yayi ou l’apologie du mal ?
– Ce mercredi 1er mai 2019, un détachement des forces de l’ordre a encerclé le domicile de l’ancien chef de l’Etat, Thomas Boni Yayi.
_ « je peux vous assurer qu’aucun projet de l’arrestation de l’intéressé n’a existé contrairement à ce qui est relayé », précise le ministre Sacca Lafia: MENSONGE
Et oui Mr le ministre pouvez vous expliquez au peuple beninois ce que la police cherche autour de la maison de Boni Yayi? Est ce que la maison de BONI est la Direction generale de la police Nationale ou un commissariat
Ce Ministre brute veut mettre notre pays a sang et a feu.
Ce ministre ne pense pas a la paix du pays et in=l est entrain de tromper le president de la republique

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MAX LA MENACE

ILS PARLENT TOUS DU PEUPLE MAIS DE QUEL PEUPLE ????
CES POLITICIENS AYANT POUR INTELLIGENCE LEUR VENTRE A L’ IMAGE D’UN ENFANT MALHEUREUSEMENT ATTEINT OU FRAPPE D’INANITION !!!!!!!
QUELLE HONTE POUR MON PAUVRE PAYS ????

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Amos

D’abord un rectificatif avant de revenir plus tard pour d’autres commentaires. Le dimanche 28 avril 2019, en dehors de Parakou, ce sont les communes de communautés nago qui se sont illustrées dans les violences. Évitons les confusions. Le Septentrion a eu de valeureux fils qui ont dirigé ce pays et aucun d’eux n’est à comparer à ce déchet. Si les autres ethnies devaient se comporter de la sorte, yayi ne serait jamais devenu président de ce pays. Toutefois, je veux être clair: pas question de mettre tous les compatriotes de cette ethnie dans le même sac. En effet, ceux qui ont commandité ou posé les actes de violences sont à retrouver parmi les moutons et leurs bergers bénéficiaires des crimes du régime abject de yayi.
Et si les autres devraient aussi se manifester?

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    Moutawakilou

    @Amos. Votre analyse est incohérente. Vous dites: ce n’est pas une affaire de nord, ce sont les nago (pourtant vous citez Parakou comme une singularité qui s’ajoute aux nago). Puis vous précisez qu’il ne s’agit pas de tous les nago, mais de ceux qui reconnaissent en Yayi Boni leur berger.
    Étendez votre raisonnement à la furie qui s’est emparée de Cotonou hier, 1er mai, il s’agissait de qui ? Des fon, goun, adja, yoruba, mina, popo, dendi, bariba, Yom, et peut-être nago. (Cotonou étant une ville très cosmopolite). Alors quelle conclusion en tirez-vous ?
    S’il y a autant de moutons de tous les pelages qui suivent un berger, et si peu d’ânes rabougris et rachitiques qui en suivent un autre, pourquoi ne voulez pas reconnaître que le premier est plus légitime que le second?
    Pour revenir aux nago (je n’en suis pas un, pour votre parfaite information), la raison pour laquelle ils ont été les premiers à réagir est qu’ils se sentent spécialement persécutés (à travers Yayi et Komi) par Talon et son administration.
    Parakou s’est ajoutée à la danse parce que les ressortissanrs de cette ville subissent à leur échelle, les excès des bouffons comme Gbadamassi.
    Comprenez donc que nous sommes pas dans un schéma ethnocentrique ou régionaliste. Ni même de suivisme aveugle pour un homme. Ce n’est pas la personne de Yayi que le peuple suit, ni celle de Talon qu’il rejette (pourquoi l’avoir élu si on éprouvait de la répulsion pour sa personne ?).
    Le peuple est derrière Yayi, mais aussi le couplé Soglo, C. Azanai, E. Houndete et les autres résistants, parce que ce sont eux qui se mis en avant pour exprimer nos griefs et porter nos revendications.
    Le peuple s’en prend à Talon parce que ce dernier l’a trahi. Il n’est pas en train de faire ce qu’il a promis pour se faire élire. Il s’était engagé à réunir le pays divisé, à lutter contre la corruption, à améliorer nos conditions de vie, à promouvoir les libertés, à ne faire qu’un seul mandat (pour ne pas laisser la politique politicienne l’empêcher de mener à bien ses missions de développement), etc.
    Aujourd’hui nous voyons tout le contraire : règlements de comptes, exclusion et persécution de certains et favoritisme excessif envers d’autres, manipulations, machiavelisme, arrogance, gouvernance solitaire, absence de consensus, « réformes » faites pour se favoriser personnellement (rappelez-vous l’exonération des droits d’enregistrement et de succession, l’exonération de tout ce qui touche au coton et aux investissements du PVI), la caporalisation de toutes les institutions, la répression de toutes les opinions divergentes, et j’en passe. Le tout théorisé par un des faucons (mais vrai con) de la cour sous le concept de « la ruse et la rage ».
    Comme il restait un noyau de résistants irréductibles à l’assemblée, il a manœuvré pour se tailler un parlement à sa solde pour créer un arsenal juridique où lui seul aura le droit de respirer.
    C’est contre cela que plus de 90% de beninois ont dit Non, car un seul individu ou une seule classe d’individus ne peut pas remettre en cause le pacte social que nous avons conclu de manière en février 1990. C’est un précieux héritage, acquis au prix du sang, que nous ont légué nos père. Nous ne permettront pas que des aventuriers,, assoiffés insatiables d’argent et de pouvoir, nous ramènent à l’ere du parti unique.
    Il convient maintenant de prendre la mesure de la situation et arrêter les provocations puériles.

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Dona

Casimir Vodjo vous faites honte à la noble profession de journalisme et vos analyses prouvent aisément votre couleur politique. Je vois un peu pourquoi le journalisme au Bénin ne dépasse jamais les frontières du pays. Combie vous a t-on payé pour écrire cette ordure de papier? Espèce de pyromane.

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    Amos

    Et vous? Êtes-vous payé pour soutenir la délinquance? Vous aimez toujours que tous les autres aillent dans le sens de vos mensonges. Nourris d’argent volé au peuple et ayant bénéficié des fraudes , tricheries et crimes du système pourri de yayi, vous rêvez que nous sommes tous logés à la même enseigne. Éduqués dans l’immoralité, vous ne pouvez que vivre du faux et le soutenir. Mais soyez certains que quoiqu’il en coûte votre royaume ne reviendra plus jamais dans ce pays.

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      Moutawakilou

      Le monde entier connaît celui qui a le plus grugé notre état depuis des décennies. Puisque, pris de remords, il n’a pas pu s’empêcher de le confesser devant le président français et le Pape.
      Le pire, c’est qu’il est tellement possédé par le démon de l’argent qu’il n’arrive pas à arrêter.
      Donc si on doit parler d’argent volé, il n’est pas bien placé pour faire le ménage.

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      Ken

      Belle réponse Mr Amos.

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      Azazou

      Ayant bénéficié de fraudes tricheries… De qui parlez-vous ? Celui qui a bâti toute sa fortune sur la corruption, la tricherie, la prédation. Vous ne vous rendez même pas compte de l’ironie derrière vos déclarations

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        Dona

        Amos en question de quoi je me mêle? Si vous avez été aussi pris de l’argent pour soutenir des apatrides et autres soyez au claire. Si vous êtes aussi courageux sortez devant le peuple pour voir ce qu’il vous fera. Des vendus comme vous.

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Valentin

Mr le Président de la république, ce type est entrain de vous conduire dans une fosse sceptique. Il veut que le peuple vous rejette. Faite très attention a lui
Quant a vous Mr le Directeur général de la police Républicaine, apprenez a dire non quant ce n’ est pas bon. Vous êtes le premier conseiller du ministre. ne soyez pas un béni oui oui. Pensez a votre famille. Ils tous double passeport. Quand ça va tourner au vinaigre vous serez abandonne a vous même. vos enfants seront zigouilles a cause de votre excès de zèle. Servez la république et non un ministre

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Valentin

Mr Jacques Migan. Quel genre de politicien êtes vous. Vous n’ êtes qu’ un mauvais conseiller politique.
Vous proposez l’ interpellation de Boni Yayi sans faire votre auto critique. Votre intérêt et rien que votre intérêt même a sang. Pensez que c’ est facile de faire arrêter un ancien chef d’ Etat. Vous n’ avez aucune notion de la sécurité , cessez donc de faire soulever le peuple pour rien. Nous ne voulons pas du désordre dans le pays Monsieur.

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Valentin

Nous reconnaissons que nos anciens présidents ont agis comme des brutes mais il n’ en demeure pas moins que le nouveau aussi est en faute en voulant les exclure des élections.
Vous avez mis votre avocat personnel a la tete de la cour constitutionnelle. Vous l’ avez choisi croyant qu’ il pouvait vous aidez mais dommage. Ca fait la deuxieme fois qu’ il vous conduit dans l’ erreur.
Malgres l’ intervention et l’ explication des constitutionnalistes face a la situation que nous vivons actuellement, vous n’ avez pas cru devoir baisser la garde. Et voila la ou ça nous a conduit. soyez prudent.
les gourmand de présidents des institutions vous ont aussi conduit a ce niveau en ne pas vouloir vous dire la vérité. Vous aurez le temps de mieux les connaitre
Pourvu que vos efforts ne soient perdus. c’est notre souci

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gbelok

De YAYI à TALON, qui provoque qui?

1- Talon a tenté d’empoisonner le monsieur, ce dernier n’a rien dit mais il a pardonné;
2- Talon a tenté de lui faire un coup d’Etat, il n’a rien dit mais il a pardonné;
3- Talon a intoxiqué et manipulé les populations pour gagner les élections, il a accepté de lui rendre le pouvoir sans broncher;
4- Talon a saccagé toutes ses réalisations une fois arrivé au pouvoir, là encore le monsieur n’a rien dit;
5- Talon a envoyé Hervé HEHOMEY lui manqué de respect en le traitant de « Vil individu », ici encore il n’a pas bronché;
6- Taon a récupéré tous les députés qui avaient été élus FCBE une fois parvenu au pouvoir, là encore, le monsieur a gardé le silence;
7- Talon l’a fait se déplacer à Abidjan en compagnie des présidents ivoirien et togolais pour que Yayi le laisse travailler, et il l’a effectivement laissé,
8- Talon envoie ses ministres l’humilier et l’injurier, le monsieur garde toujours le silence,
9- Talon envoie les anciens ministres de Yayi l’injurier devant les populations, le monsieur ne bronche pas;
10- Talon manipule la Justice pour l’humilier (Cas de la Cour Constitutionnelle de Djogbenou au sujet du prétendu achat de terrain à Parakou), le monsieur sourit sans rien dire;
11- Talon a envoyé tous ses lieutenants en exil, le monsieur a encaissé sans répondre,
12- Talon l’a livré à la vindicte des médias sous ordre, le monsieur ne vous dit rien ;
13- Talon l’a fait gazer, il a digéré sans rien dire.

Et après tout ça, Talon veut encore maintenant l’enlever et vous osez dire que Yayi prône la violence?

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    Louisa

    Pour certaines choses je suis d’accord mais pour le reste donnez nous les preuves. Il y a des choses qui sont pas vraies. C’est juste votre esprit s’opposant qui parle. Pourquoi ne pas analyser la situation avec objectivité ?

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    Zozo Kede

    Merci pour cette analyse limpide.
    Le klébés, eya prenez les bics pour nous expliquer pourquoi celui qui tient la chicotte veut pleurer plus fort que celui qui reçoit les coups tous les jours.
    Écrivez !!!

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    Ahouansou

    Parlons nous bien du même homme qui n’a fait que se ridiculiser durant ses mandats successifs à la haute magistrature. Un complexé, médiocre, gauche devant les médias. Qui s’offrait en son temps le luxe de pleurer en France pour une fait divres survenu dans l’ex pays colonisateur. Qui a un penchant manifeste pour les spiritueux. Qu’attendez-vous réellement de ce petit homme?
    Si Talon avait voulu le finir, il l’aurait fait.
    Qui exhorte les populations à servir de chair à canon?
    Cessez vos raccourcis provenant de vos fantasmes.
    Vous ne comprendrez donc que lorsque lesn militaires répondront à l’incivisme et que le pays sera réduit en cendre?
    Les êtres n’apprennent dont jamais du passé même récent?
    La spirale de la violence est si vite arrivée mais son extinction elle est plus difficile à obtenir.

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Louisa

Moi je pense dans toute cette histoire c’est nous le peuple qui en souffriront. Ces gens là nous utilisent. Les acteurs politiques se servent de nous pour leur règlement de compte. Si la situation tourne au vinaigre tous ceux là vont s’en aller par le premier vol et nous laisser à notre sort.

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Appolinaire WEWE

Bonjour chers compatriotes.
Nous avons un seul va-t-en-guerre au Bénin : c’est le bouvier Yayi Boni. Comme il avait raté l’opportunité de mettre le pays dans un bain de sang en 2015, il veut se rattraper mais les mânes de nos ancêtres ne le lui permettront pas. Il est en train de jouer avec le feu en voulant exploiter la misère du peuple. C’est un fauteur de troubles et on lui appliquera la loi. Le Bénin n’est pas sa propriété.

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gbelok

Voici la théorie TALON en expérimentation au 229 :

« Vous savez très bien que dans les petits pays comme les nôtres, ce qui permet à un président en exercice d’être réélu, c’est sa capacité à soumettre tout le monde.

Quand tous les députés sont à sa solde, quand tous les maires sont à sa solde, quand tous les élus locaux sont à sa solde, quand tous les commerçants le craignent, sont à sa solde, quand les partis politiques sont affaiblis, sont à sa solde, sa réélection est facile.

Ne soyez pas sourd à ce que je dis: ce qui permet à un président d’être réélu, avec assurance, ce qui assure la réélection d’un président, c’est pas son mandat, c’est pas ses performances, c’est pas son résultat, c’est la manière dont il tient les grands électeurs, c’est la manière dont il tient tout le monde, c’est la manière dont personne n’est capable de lui tenir tête, d’être compétiteur comme lui.

Quand vous n’avez pas de compétiteur, vous avez beau être mauvais, vous serez réélu ».

Patrice TALON

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Tchede

Si cette rédaction ne se méfie pas, son siège va être saccagée ! Ne jouez pas avec la colère du peuple ! Quand la masse dit non, il faut reculer !
N’essayez surtout pas d’envenimer davantage la situation !
Nous disons non aux élections exclusives et à la dictature ! C’est compris j’espère ??
Talon sortira du pays dans la malle arrière d’un taxi brousse comme il en a l’habitude s’il n’y renonce pas ! Vous êtes suffisamment prévenu.

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Mariusben

Donc tous ceux qui s’expriment sur ce site ne veulent pas d’un Etat de droit. Chacun peut faire ce qu’il veut sans respecter les lois. Des lois sont votées par le Parlement. Jusqu’à leur abrogation chacun est tenu de les respecter. Tout le problème est là. Qu’une loi nous plaise ou pas, on est tenu de la respecter jusqu’à preuve du contraire.. Si nous voulons une République du désordre, ouvrons les vannes de la subjectivité comme on le constate dans les commentaires et alors bonjour les dégâts !

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Ligan

Si dans une famille, certains fils ne sont pas d’accords avec une règles (donc une loi) qui s’applique à tous, il est inadmissible que l’on se mette à saccager tous les biens de la maison afin de ce faire entendre. Souvenez vous de la campagne présidentielle de 2011. Si Hougbegbi avait soulevé le peuple, beaucoup de nos frères auraient été tué par Bony yayi.
En bref, chef d’État ou non, chacun doit répondre des actes de vendalismes dont il est auteur ou complice, devant la justice.
Et quand un père de famille, oublit le respect qu’il lui est du, pour semer du désordre partout, il faut considérer qu’il ne mérite pas le respect qui lui est du… Et ainsi il faut le considéré comme monsieur madame tout le monde……

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magbedo

L’article est validé par l’organe Benin Web TV. Donc tout cela qui insulte un prétendu journaliste, se trompe. Soyez responsables, nous avons vu KEREKOU ici. C’est un exemple d’homme d’état à respecter. Un conseil que BONI YAYI et SOGLO donnent l’exemple en ces moment ci. Ils n’ont plus rien à apprendre au peuple Béninois en matière de gouvernance, c’est fini.

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sultan aziz

pur nordiste..que je suis…et étant d’un certain age….j’ai…vu

Je dis bien…j’ai vu et j’ai vécu…tout petit…les troupes envoyés au quartier gah..pour arreter chabi mama..et consorts..

il y a eu beaucoup de morts….sacrifiés par des politiciens..avides de pouvoir

J’ai vu…j’ai vécu…déjà…un peu plus mur..des massacres..de nos frères du sud…en ..1970….dirigé par lolo chidiac..

Je vous le jure..il y a beaucoup de mort…et les exécutants…furent bombardés…tous douaniers..de l’état dahomeen…sous pascal chabi kao…

Sous soglo..il y a eu..des émeutes à parakou…toujours dirigés..par le meme lolo chidiac…..mais en ce temps..j’étais étudient en france..et ce sont mes cousins…qui me relataient les faits…tous joyeux…d’avoir cassé du sudiste..à parakou

Première réflexion…l’homme du nord…est un paradoxe en soi..

Hospitalier…accueillant…pret à tout donner..terrains…biens…aux autres…mais dangereux..lorsqu’il se sent bafoué..dans son amour propre…sur fond de condescendance..de suffisance et d’injustice.

Sur d’autre..site…je suis considéré..comme un analyste atypique…puisque deux..ans…j’avais dit..avec exactitude..ce qui se passe..aujourdhui…

Modestie oblige…!!!!…je dirai que…que c’est de l’analyse simple..basée sur la sociologie…beninois…que je maitrise..à la perfection

Je vous le jure…talon va céder..puisque donc…toute utilsation..de la force contre yayi lui..sera fatale..

L’assemblée d’imposteurs..doit etre dissoute..et les élections reprises..

Il n y aura pas d’autres alternatives..

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    Christelle

    Mais Aziz tu ne dis rien par rapport à la recherche de consensus que le Prégo avait demandé.

    Pourquoi le consensus trouvé, les signataire sont parti voir YB et revenir renier leur signatures.
    pourquoi cet attitude?
    Est ce qu’on veux vraiment le consensus? ou YB veut profiter pour régler ses compte personnel avec un président démocratiquement élu à 65%.
    Vous oubliez ce pan dans votre analyse.
    Pourquoi le consensus trouver avec signature des membre à qui on a confié la responsabilité est il volé en éclats?

    C’est là la grande question qu’il faut se poser

    Est ce que YB veut vraiment le consensus?

    Moi je dis NON

    Il veut mettre le pays à feu et à sang car il l’avait promi devant camera et la famille SOGLO aujourd’hui co auteur de cette situation