Loth Houénou : « Si Azannaï était une femme, elle serait restée chez aucun mari »

Lors de la cérémonie de vœux de nouvel an organisée par les militantes, militants et sympathisants de sa formation politique, le président du parti des valeurs républicaines a profité de cette rencontre politique avec sa base pour répondre aux dernières déclarations de l’ancien ministre de la défense, l’honorable Candide Azannaï.

Pour Loth Houénou, l’honorable Candide Azannaï ne surprend plus personne dans le pays par ses revirements politiques spectaculaires. Pour l’homme de Djeffa, le président Du parti restaurer l’espoir (RE) a l’infidélité dans les gênes ou dans l’adn. Se basant sur son parcours politique depuis son intégration dans le parti de la renaissance du Bénin en passant par la virgule avec le président Thomas Boni Yayi et les forces cauris pour un Bénin émergent et son actuel faux bon avec « le  nouveau départ », Loth Houénou affirme que l’homme politique de Joncquet est un danger pour la politique du fait de son instabilité.

Pour le conférencier qui désapprouve ce qu’il appelle la cabale gratuite et les déclarations mensongères de l’homme de joncquet contre le chef de l’État et son clan, Candide Azannaï n’est pas fidèle en amitié. « Si Azannai était une femme, elle serait restée chez aucun mari’‘ deduit-il en parlant de l’instabilité politique de Azannaï.

Pour l’homme Houénou, les différentes déclaration faites par le président du parti restaurer l’Espoir le 21 janvier dernier sont une série de calomnies dont il répondra devant les juridictions compétentes.

Le conférencier n’a pas épargné les membres du front pour un sursaut patriotique dont il fustige les marches intempestives dans le pays. Pour lui, tous ces agissements sont des moyens pour distraire le chef de L’État qui œuvre quotidiennement pour améliorer les conditions de vie des béninois. Il invite donc leurs différents bailleurs à réorienter son financement afin de contribuer réellement à l’évolution du pays.