Bénin : le vodoun Kinninsi, une divinité anticonstitutionnelle et incompatible à la modernité

S’il y a une divinité qu’il faut isoler du « panthéon vodoun » en Afrique en général et au Bénin en particulier, c’est bien le « vodoun kinninsi » dont les œuvres macabres relèvent du moyen-âge.

Constitué d’une divinité qui est matérialisée par un canari à même le sol sur lequel il a été versé de l’huile rouge, le vodoun « kinninsi » est historiquement une pratique sociale propre à certaines collectivités. A cette pratique, est associé un autel où se font les rituels de guérison de la fièvre infantile, des évocations propres à ce Vodoun par personnes initiées dans lesdites collectivités.

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Mais aussi et surtout des éléments matériels accompagnent ses libations. L’histoire serait remontée aux périodes de guerre interne d’hégémonie qui aurait amené les ancêtres des collectivités à quitter Adja Tado avec leur Vodoun pour se protéger des invasions des ennemis vers les XVIIIè siècle. Ils se seraient migrés par Zinvié dans le Département de l’Atlantique, ensuite Djèrègbé, Porto-Novo pour venir s’installer définitivement à Aguégué.

Conservé par des grands dignitaires du culte qui ont su le garder dans le couvent jusqu’à nos jours, lui conservant ainsi toutes ses puissances maléfiques et occultes, le vodoun « kinninsi » est désormais mis à la disposition de tous les quidams qui s’en servent pour semer la zizanie au sein des populations.

Vieux de l’époque du Dahomey, le vodoun « Kinninsi » a la force de faire exécuter tous vos désirs quels que soit le domaine: professionnel, amoureux, richesse, santé, vengeance…. Il suffit de faire les rituels demandés et de faire votre requête auprès du vodoun et il exécute en moins de 24 Heures sans possibilité de rendre le sortilège inopérant; c’est donc un vodoun très dangereux qui ne doit pas se retrouver à la disposition d’une personne sans foi ni loi.

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Malheureusement, le « Vodoun Kinninsi » est devenu un fétiche accessible à tous et est devenu un macabre instrument destructeur aux mains des arnaqueurs communément appelés « Gaymen ». Les conséquences de ce laisser-aller de certains dignitaires du culte vodoun sont perceptibles au quotidien. En effet, le vodoun « kinninsi » est devenu un instrument d’insécurité publique au Bénin mais laisse les dirigeants indifférents à ce drame social qui se joue devant leurs yeux.

Il n’y a point de jour où des scènes et images d’horreur ne sont diffusés dans les médias et réseaux sociaux et qui font état de crime rituel, de sacrifices humains au profit de ce fétiche devenu la terreur nationale.

Ainsi, le Bénin, terre connue du vodoun qui travaille à valoriser son patrimoine culturel et cultuel dans un projet de promotion touristique et culturelle porté par le gouvernement de la rupture est dévoyés par des faits qui projettent des images négatives sur nos valeurs endogènes.

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Dans le nouvel atmosphère créé par le vodoun « kinnini », personne n’est épargné: enfants, personnes adultes, jeunes filles…; tout y passe » grâce à l’appui de certains « Hounnon de nouvelle génération » qui se spécialisent dans les crimes rituels.

La récurrence des actes barbares dignes des films d’horreur qui plongent les  populations dans le désespoir exige des réactions vives et énergiques du gouvernement, garant de la sécurité de tous car le vodoun « Kinninsi » est contraire à la constitution de 1990 qui stipule en ses articles 8, 9 et 10 ce qui suit:

Article. 8:  La personne humaine est sacrée et inviolable. L’Etat a l’obligation absolue de la respecter et de la protéger. Il lui garantit un plein épanouissement. A cet effet, il assure à ses citoyens l’égal accès à la santé, à l’éducation, à la culture, à l’information, à la formation professionnelle et à l’emploi.

Article  9: Tout être humain a droit au développement et au plein épanouissement de sa personne dans ses dimensions matérielle, temporelle, intellectuelle et spirituelle, pourvu qu’il ne viole pas les droits d’autrui ni n’enfreigne l’ordre constitutionnel et les bonnes mœurs.

Article 10: Toute personne a droit à la culture. L’Etat a le devoir de sauvegarder et de promouvoir les valeurs nationales de civilisation tant matérielles que spirituelles, ainsi que les traditions culturelles.

Il est donc urgent que par des actions conjointes, les puissances publiques et les dignitaires de la tradition se donnent la main pour éradiquer ce phénomène qui constitue un grave danger pour notre pays. De plus, le Bénin ayant ratifié la déclaration universelle des droits de l’homme et la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des peuples, qui constituent un idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations, risque d’être pointé du doigt pour violation des droits humains.

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Il n’est point nécessaire d’ajouter que la déclaration universelle des droits de l’homme  stipule:

Article premier:

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 3:

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 4:

Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Article 5:

Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Le Bénin honorerait ces engagements pris lors de la ratification de la charte universelle des droits de l’homme en menant une lutte acharnée contre le trafic d’organes humains; les crimes rituels, les disparitions mystérieuses de ses fils et les sacrifices humains. Il en va de l’image du pays.

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9 comments

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Israël

Le Benin est le seul pays au monde ou l’état consacre une journée entière à vénérer satan.
Quesperez vous de bon dans un pays comme celui-là ?

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The Atlantean

Nous sommes au 21ème siècle, et encore sur notre pauvre continent noir des crimes odieux, horribles, diaboliques continuent d’être perpétrés contre des âmes innoçentes des enfants. Et pour quel but les enfants sont sacrifiés pour des rituels ou sacrifices humains?
Sauvagerie!
Dans mille ans je n’irai pas croire que de tels crimes pourraient être perpétrés dans certains pays africains, voire le Bénin. Car j’avais dans le passé soulevé le revers diabolique du culte Maraboutisme, Fétichisme, et Vodouisme qui ne sont que de différentes faces du diable incarné. Et leurs actions diaboliques planent sur toute l’Afrique Noire. Des crimes horribles, odieux , diaboliques qui gangrènent le continent noir. Le Bénin le pays du culte Vodou vient de subir une raclée dure qui n’avancera pas le tourisme et autres investissements dont le pays aurait besoin pour se faire classer dans son épanouissement économique. L’image du Bénin est ternie.
La solution viable pour le Bénin est d’éradiquer sur tout son territoire les pratiques associées avec les dieux andogènes. Abolir le jour ferié honorant le culte vodou.
Le monde entier court vers l’évolution industrielle ou spirituelle, pour le Bénin et certains pays africains, c’est la ruée vers le mal.
Dahomey le Quartier Latin de l’Afrique est devenu, le Bénin le pays des macabres, des sacrifices humains.

En Occident où ailleurs les enfants sont protégés, et la dignité de l’Être Humaine (l’Amour) se fait sentir dans tous les cercles.
Est-ce parce qu’ils sont blancs qu’ils voient plus clair que nous, et que la couleur de notre peau renvoie notre vision dans les ténèbres du diable?
La disparition subite d’un enfant, jeune homme ou jeune fille devrait donner de frisson dans l’épine dorsale de n’importe qui ou ailleurs sur le continent noir.
Aucun être humain ne devrait disparaître dans la vapeur criminelle pour des pratiques diaboliques. Le gouvernement devrait mettre en place des mesures pour secouer le tronc de l’arbre pour trouver les victimes et dévoiler les auteurs.
Vous sacrifiez les jeunes enfants pour vos ambitions, le matérialisme aveugle dans lequel l’Afrique entière s’est plongée depuis son accession à l’Indépendance. Nous voulons “Le Pouvoir”, mais nous ne connaissons pas “Dieu” qui est la source de tous les pouvoirs. Nous voulons le Matérialisme, mais nous ne connaissons pas “l’Esprit- Saint” qui est la Source du Matérialisme.

Nous sommes ignorants, bêtes, sots et d’une sauvagerie en pleine recrudescense.
Quand le blanc voudrait devenir riche, il invente des appareils, des machines etc, etc.
Quand le noir africain voudrait devenir riche, il consulte le Vodou, ou pour l’apaiser il sacrifie ses concitoyens et concitoyennes des jeunes âmes innoçentes au culte vodou, lègba commettant ainsi des crimes odieux, horribles, sataniques pour devenir et jouir de l’opulence.

Shame on you!
Shame on you!
Shame on you!
L’opportunité de vivre sur Terra vous sera refusée, et vous serez conduits dans cette partie de l’enfer appelée “AVICHI” où vos âmes seront détruites tout comme vous aves détruit les pauvres innoçents sur cette terre.

Ils ne passeront pas!
Ils ne passeront pas!
Ils ne passeront pas!
Comment pourriez-vous continuer de jouir vos ambitions matérielles quand il n’y aura point d’être humain à sacrifier aux forces sataniques comme Satanaku, Adramaleck, Lucifer, Python et autres?
Iriez-vous faire briller, ou jeter vos perles diaboliques devant les animaux?

1/ Ramener la peine capitale quand il s’agit de meutre d’enfant, homme, femme, jeune fille ou jeune garçon pour sacrifice humain.
2/ Interdire la pratique du Maraboutisme, le Fétichisme, Vodouisme qui ne sont que des forces du fléau satanique ou diabolique.
3/ Tout individu trouvé coupable de pratiquer le Maraboutisme, Fétichisme, Vodouisme, sacrifice humain coura la peine de 12 mois de prison ferme, et une amende de 5000,000.00 CFA. Il faut un deterrent pour mettre fin à ces partiques diaboliques.

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    Gerard5567

    Texte magnifique que j’aurai aimé écrire moi-même. Merci.

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Wilburt

Comment voulez-vous qu’il y ait la sécurité dans le pays si tant est que le pouvoir central veut bien promouvoir le cultuel.

Pour que cette question soit traitée de façon radicale, il faut faire recours au Vrai Dieu de l’univers (venu en chaire Jésus-Christ) et nous vaincrons le toutes ces choses, oui choses.
Le Bénin ne verra jamais le développement si nous prônons le vodoun.
Seule solution : éradiquons ce gangraine voudoun et le Bénin prendra son envole!!

BIDI Eu….

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    L’Etoile Polaire

    Saho! Ce qui salit plutôt le nom du Bénin, c’est ce que dénonce wilburt. Tu es à l’aise d’entendre que, parce que des veulent avoir ceci ou cela, il s’adonnent à des crimes crapuleux. Que dis-tu de tous comis sur des enfants innocents?. Qu’un tue sa ou son père parce qu’il veut se faire de l’argent ? Qu’une fille sacrifice son petit ami et vice versa ? Que des enfants aillent à l’école et que leurs parents ne les retrouvent plus jamais ou s’ils doivent les retrouver, c’est des corps inanimés mutilés.? Ce n’est pas l’image de mon pays en tout cas. J’en suis très meurtri quand des amis lisent ces choses et m’interpellent d’un peu partout. J’ai toujours vanté, à l’étranger, la stabilité de notre démocratie, l’hospitalité et dévouement. C’est dommage ! Je suis dérangé que tu sois à l’aise face à des actes qui frisent le crime contre l’humanité. Même si tu es adepte de ce truc, tu dois en être gêné si tu sais que la personne humaine est sacrée. Et même si quelque chose se passe au Vatican et aux États Unis comme tu l’insinues, mon pays est une terre de vertu et ne doit pas copier le mal. Je présente d’ores et déjà mes vives félicitations à tous les Maires qui ont pris le problème à bras le corps en vue de mettre hors d’état de nuire ces hors la loi. Que vivement le gouvernement les renforcent dans leurs efforts et si possible l’étendre aux autres Communes pour que cessent ces comportements audieux dans notre pays. Nul ne doit détenteur de quelque chose chez qui empêche les citoyens de vaquer librement et en toute quiétude à leurs occupations.

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Saho

Tu raconte quoi toi ? Y a des grandes églises Sataniste aux États Unis et en Europe et tu viens raconter tes bêtises ici. Va voir ce qu’il se passe derrière les portes fermées du Vatican ou on pardonne et remet en fonction des prêtres s’étant rendu coupable d’acte de pédophilie (ce qui est un des actes pédophile par excellence) au lieu de salir le nom du Benin

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The Atlantean

Votre article sur le culte Vodou Kinninsi a été publié sur un côté singulier parmi des millions du culte Vodou qui jonchent sur tout le territoire, dans des maisons et couvents. Votre article sur le sujet a été écrit à mon avis avec un petit préjugé.
Vous avez par exemple cité des noms de famille qui pratique Kinninsi. Vous avez commis une erreur, une maladress Monsieur le Journaliste de publier ces noms pratiquant le culte Kinninsi. Je ne suis pas un journaliste, mais le journalisme est un organe ou outil pour informer le public, dont la rédaction devrait faire preuve d’un esprit équilibré, et non un outil de 2 poids 2 mesures.

Je m’explique:
Étaler au grand jour tous les bas et les hauts de ce culte Vodou Kinninsi et ses pratiques, est bien votre devoir de journaliste, mais en prenant soins de garder toutefois dans l’anonymat les noms des familles associées avec ce Vodou, tous les membres de ces familles ne sont pas automatiquement des adeptes de ce culte Kinninsi. C’est si facile d’aller chercher des poux dans les cheveux des autres, alors que toutes nos têtes sont envahies de poux. Nous sommes tous des infidèles, car certains d’entre nous mangent à la table de Dieu le matin, pour reapparaître dans les couvents Vodou le soir; comme certains vont à la messe le matin et se retrouvent sous les voiles d’Egun-gun le soir.
On ne publie pas d’une manière indiscriminatoire qu’une goutte d’eau pourrait remplir un verre. Alors la prudence dans vos rédactions Monsieur le Journaliste!
Vous avez fait allusion de l’article 1 jusqu’à l’article 10 de La Constitution. Les fléaux Vodou, Kinninsi, Sorcellerie, Egun-Gun, Gunnuko, Zangbéto, Lègba, Tolègba, Oro, Gris-Gris, Azam-Bo et d’autres forces des ténèbres existaient, faisant rage, des victimes sur le territoire bien avant notre Jeune Constitution au Bénin. Si les Pères de La Constitution avaient pensé et soucieux d’éradiquer ces fléaux, ils auraient pu en ce moment penser aux douleurs et chagrins des familles décimées par ces fléaux, et mettre des lois prohibitant ses pratiques.

Pourquoi ne l’avaient-ils pas fait?
Parce que certains de ces pères de La Constitution avaient des parents qui étaient sorciers et sorcières, des parents dans le culte Vodou, Egun-gun, Lègba etc etc.
Posez la question maintenant aux pères de La Constitution serait simplement mettre la charue avant le boeuf.
Et sur le cointinent noir et dans certains pays africains, des nouveaux-nés avec leur cordon sont sacrifiés au nom de la richesse et pouvoir. Quest-ce qu’il y a de plus horrifiant que ça? Et ça continue en pleine effervescence à travers tout le continent.
Personne ne devrait pas vivre dans la peur constante, dans l’insécurité dans son pays où la liberté de vivre, de vaquer de ses affaires quotidiennes est devenue un chagrin qui enveloppe la conscience des citoyens qu’il soit riche, pauvre ou misérable.
Il n’y a qu’une seule Divinité, et c’est la Divinité “Divine de Dieu” Le Créateur de l’Univers. Et suivons tous dans les pas de Notre Seigneur et Maître-Jésus-Christ.

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    Edouard Djogbénou

    J’ai lu avec une attention soutenue votre commentaire sur l’article « Kinninsi » et je vous remercie des remarques « pertinentes » que vous y avez soulevé. Je me suis peut-être laissé aller à mes émotions du moment à la colère qui m’animait face surtout au silence des voix autorisées sur ce phénomène qui ne date pas de maintenant. Sur la pluralité des divinités ou la stigmatisation qui est fait sur le « kinninsi », il faut dire que dans la conscience collective, c’est ce fétiche qui est le plus évoqué dans des situations que nous déplorons tous et il n’est de ma responsabilité de mettre toutes les divinités dans un m^me panier dans un pays où nous prônons la laïcité. Pour les noms de familles citées je me désole d’avoir été obligé de faire ce clin d’œil historique (sans l’intention bien évidemment de stigmatiser personne). De toutes les façons j’y suis revenu par un rectificatif…Je voudrais finir en vous remerciant pour le temps consacré pour ce commentaire aussi long; tout en précisant que l’histoire d’un peuple est évolutive et que si dans notre marche, nous sommes obligés de toiser par ailleurs derrière pour corriger nos tares mêmes si elles sont consignées dans la loi fondamentales, c’est le contexte qui l’impose. Cordialement Edouard Djogbénou

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AMOUSSOU PASCAL

Nous n’allons pas apesentir sur les conséquences que nous constatons aujourd’hui, mais retournons nous a la decision du president Soglo qui a rendu legale cettte commémoration. L’idée en soit elle mauvaise ? J’en doute mais c’est la tournure des événements qui inquiète et est à deplorer … nous devons rechercher cette derrive dans le manque de bons sens et la recherche effrénée de gain facile , l’impatience dangereuse qui conditionnement la jeunesse à ces pratiques sous la direction des gardiens des traditions(chefs feticheurs,chefs famille et même les parents…) qui ont perdus eux même le bons et le respect de la nature avant leurs enfants. Ce sont eux qui sont à la manoeuvre d’une jeunesse déboussolée ….errant , livrer à tous vent venant.