Suspension du quotidien « La nouvelle tribune » : Martin Assogba se prononce enfin

Le président de l’ONG Alcrer a été l’invité, ce mercredi 29 mai 2018, de l’émission  »forum politique »  de la radio Capp fm. Interrogé sur la suspension du journal  »La Nouvelle Tribune », Martin Assogba ne s’est pas désolé de la situation; mieux il a approuvé cette décision de la Haac.

Mué dans un silence absolu depuis sa désignation par ses pairs de la société civile pour siéger comme membre au sein du Conseil de l’autorité de régulation des marchés publics en 2016, Martin Assogba a été reçu ce mercredi sur la station Capp fm  afin de se prononcer sur les sujets brûlants de l’actualité nationale. Et parmi les sujets évoqués, celui relatif à la suspension du quotidien  »La nouvelle tribune ».

Ainsi, sur cette question, le président de l’ONG Alcrer connu pour son combat quant à la  défense des libertés, se refuse d’être subjectif  »comme beaucoup l’ont fait ».  Et dans son « objectivité », l’homme ne trouve aucun tort au président de la Haac, Adam Boni Tessi qui a pris une telle mesure conservatoire.

 » A ma lecture des griefs qui sont à l’origine de cette décision de suspension notamment les écrits malveillants portant atteinte à l’image d’un Président de la République, je me demande comment peut-on laisser des journalistes publiés des choses de ce genre sur la première autorité du pays », s’est interrogé Martin Assogba.

L’homme condamne les  publications du journal en question et approuve cette décision de la Haac qu’il juge légitime,  »car la liberté des uns s’arrêtent là où commence celle des autres’‘, a-t-il fait savoir.

6 comments

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Ken

C’est ça qui est bien dit. Au moins lui n’est pas à l’image des hypocrites qui passent leur temps à intoxiqué la population

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Sauvy

@ Josaphat,
Je voudrais ajouté à la suite de Monsieur Assogba que monsieur Folly devrait avoir honte de se plaindre de cette suspension comme il le fait. Tous les jours sur son site, mes commentaires sont systématiquement censurés parce que moi je critique ses journalistes (que je nomme d’ailleurs des journaleux écrivaillons). Lui monsieur Folly se plain d’une suspension provisoire pour avoir publier des écrits que j’appelle tendancieux alors que des réactions de simple commentateurs comme Sauvy sont supprimés tous les jours. Monsieur Folly, je suis pour la liberté de la presse, mais sachez que cette situation devrait vous permettre de vous regarder dans le miroir. Vous êtes pire que ceux que vous critiquer. Revoyer votre copie. Merci

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andree jaen fumey

honte à lui à martin assobga à pour son imagé il boufé dans la marmity; tou ça sè la demcratie.

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Fortune

Andree Jaen Fumey. Relisez vos textes et corrigez les pour nous permettre de vous comprendre. Même votre nom est mal écrit. Ca ne fait pas bien pour notre image de béninois.
Tous ceux qui donnent leurs avis pour dire ce qu’ils pensent et qui est contraire à ce que vous pensez ne sont pas tous autour de la marmite. Toutes les marmites y compris celles de chez vous, sont réservées aux ayant droit. Si maintenant n’est pas encore votre tour, vous n’avez qu’à patienter. OK?
Merci d’être un peu plus respectueux. Compris? Ça aussi relève de la démocratie que vous citez sans savoir ce que cela veut dire.

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MAX LA MENACE

MON CHER ET BEAU PAYS EST MALADE DE SON ILLETTRISME. CELA EXPLIQUE LE BARBARISME QUI CARACTERISE CERTAINS INDIVIDUS QUI TENTENT D’ECRIRE ET COMME L’ECOLE NOUVELLE EST PASSEE PAR LA ET QUI PLUS EST QUAND CELUI LA N’A JAMAIS ATTEINT LE COURS ELEMENTAIRE PREMIERE ANNEE LE RESULTAT EST SANS APPEL.
QUANT A MON CHER VINCENT FOLLY UN ANCIEN FRANCISCAIN , IL DOIT CESSER DE NOUS FAIRE HONTE ET DE DESHONNORER LA MEMOIRE DES ICONES FEU PERES ALPHONSE QUENUM ET VINCENT ADJANOHOUN QUI EN PLUS DE NOUS AVOIR INCULQUE LE SAVOIR, LE SAVOIR ETRE Y ONT AJOUTE L’INSTRUCTION CIVIQUE ET SURTOUT LA POLITESSE ET LE RESPECT DE LA PERSONNE HUMAINE.

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Akindes

Il manque à toutes ces prises de positions des extraits qui justifient les appréciations. Il ne faut plus exclure le soutien à des assassinats politiques avec justifications à l’appui. En attendant les tournures subtiles sont interdites au pays des incompétents. C’est, constatons-nous le sort du Bénin de ne pas faire dans la dentelle.