Martin Assogba : « J’ai encore des balles dans le corps… »

Le Président de l’ONG ALCRER traîne toujours les séquelles de l’agression dont il a été victime en décembre 2013. C’est du moins ce qu’il convient de retenir de sa dernière sortie médiatique sur la radio Capp Fm.

A l’en croire, contrairement à ce qui se dit, les deux balles qu’il avait reçues sont encore bel et bien dans son corps. Malgré son séjour hospitalier, il n’a pas pu se débarrasser de ces dernières. Ce qui constitue selon ses dires, une dégradation lente de son état de santé, car cela nécessite qu’il soit de façon permanente sous certains médicaments.

Toutefois, Martin Assogba n’est pas resté les bras croisés face à sa situation. Il a plusieurs fois essayé de se faire retirer les balles en France. Mais malheureusement, la réponse des médecins lui fait rebrousser chemin. Pour les médecins, l’emplacement des balles nécessite une opération chirurgicale risquée et très complexe.

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Pour rappel, le Président de l’ONG ALCRER se rendait à son domicile quand son véhicule a été attaqué par des individus non identifiés. Il avait été gravement blessé avec deux balles dans le corps. Transporté à l’hôpital de zone d’Abomey-Calavi, il sera par la suite évacué au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou (Cnhu) pour une intervention chirurgicale. Quelques jours après, avec l’appui du gouvernement d’alors, il sera évacué en France pour la suite du traitement qui, visiblement n’a pas permis le retrait des balles de son corps.