Sécurité alimentaire et le Covid-19: les emballages auraient très peu de chances de propager le virus
Aux Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA), une Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux, affirme qu’il est peu probable de contracter le virus à partir des aliments et des emballages.
Depuis l’apparition du coronavirus dans le monde, nombreux sont ceux qui flippent à l’idée d’attraper le virus lorsqu’ils se rendent au marché, au supermarché, où ils touchent des aliments ou des emballages alimentaires. Est-ce risqué ? Qu’en est-il réellement ?
Les dernières déclarations de la Food and Drug Administration des États-Unis, confirment que le risque de contamination à travers des emballages alimentaires est « extrêmement faible », a publié Yahoo !actualité.
« Les consommateurs doivent être rassurés, car nous continuons de croire, sur la base de notre compréhension des informations scientifiques fiables actuellement disponibles et appuyées par un consensus scientifique international, que les aliments mangés et les emballages alimentaires touchés sont très peu susceptibles de propager le SRAS-CoV-2 », a indiqué la FDA dans un communiqué.
Les agences de santé américaines rassurent qu’il n’existe pas de preuves épidémiologiques qui attestent « que la nourriture ou les emballages alimentaires peuvent représenter des sources de transmission du SRAS-CoV-2 aux humains ».
Par contre, en novembre 2020, la Chine avait annoncé que les emballages de produits surgelés importés pouvaient être à l’origine de « plusieurs foyers de contaminations ». Ils ont avancé par exemple, que des traces du virus avaient été relevées sur « du bœuf congelé venant du Brésil ».
Cela voudrait alors dire que l’usage des produits congelés doit se faire avec beaucoup de prudence.
A noter qu’en Australie, une récente recherche a prouvé que le virus du covid-19 pouvait survivre 28 jours sur les téléphones portables et les billets de banque.
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