Hamed Bakayoko: voici pourquoi la FIDHOP recommande une autopsie de son corps
La Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie politique (FIDHOP) a demandé qu’une autopsie soit faite au corps sans vie du premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko. Ce dernier est décédé en Allemagne, des suites d’un cancer, selon les informations du président Alassane Ouattara.
En raison du flou qui a été semé autour de l’évacuation sanitaire du premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko, la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie politique (FIDHOP) pense qu’une autopsie pourrait situer les responsabilités.
En effet, pour l’évacuation sanitaire d’Hamed Bakayoko vers la France, le gouvernement avait officiellement évoqué un besoin de repos.
Par la suite, le même gouvernement a, dans un communiqué en date du 5 mars, estimé que le séjour du Premier Ministre serait prolongé compte tenu de son état de santé.
Du repos, il fallait prolonger son séjour sans communiquer sur son état de santé. Et puis par la suite, des voix officielles annoncent son décès, des suites d’un cancer alors que la thèse d’empoisonnement choquait la toile.
Pour mettre fin à la polémique, la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie politique (FIDHOP) recommande une autopsie pour situer clairement la cause du décès du Premier Ministre ivoirien.
A en croire l’institution, cette initiative d’autopsie relève de la responsabilité de la famille du défunt, le désormais ancien premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko.
La Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie politique, en abrégé : FIDHOP, est une institution de la société civile ; elle est non-étatique, non-confessionnelle, apolitique et indépendante.
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