Une femme égorgée dans une forêt en France: son amant, placé en garde vue, avoue le crime
Une citoyenne de la république socialiste démocratique du Sri- Lanka, pays insulaire situé au Sud de l’Inde, résidant à Sarcelles, ville populaire au nord de Paris, a été retrouvée morte égorgée en forêt d’Arnouville, dans le Val-d’Oise à la fin du mois de mars. La police a convoqué l’amant de la victime.
Une promeneuse s’est retrouvée nez à nez, le 31 mars dernier, avec le corps inanimé d’une femme dans le Bois des Codons à Arnouville dans le Val-d’Oise, en région parisienne, a publié Le Parisien, relayé par le Journal des Femmes. Un communiqué du parquet de Pontoise a annoncé que la dépouille « était situé dans une zone agricole, à 500 mètres des habitations, au pied d’un arbre dans un site emprunté par les promeneurs, relativement fréquenté ».
Le cadavre n’a pu être identité sur place, parce que la victime n’avait aucun papier d’identité sur elle. La police de Versailles a dû lancer un appel à témoins.
Après des semaines d’enquêtes, les autorités ont découvert que la victime était une quadragénaire sri-lankaise domiciliée à Sarcelles, au Nord de Paris, mesurant 1m60. Les premiers rapports de l’autopsie révèlent qu’elle aurait « été frappée à la gorge avec une arme tranchante, mais n’aurait pas subi de violences sexuelles».
Elle était vêtue d’« une robe noire plissée, une fine ceinture marron et des baskets ». Elle portait sur elle une « poche de stomie au niveau du ventre suite à une opération du système digestif ».
La brigade criminelle de Versailles a interpellé le mercredi 21 avril dernier, un père de famille âgé de 42 ans à son domicile. Eric Corbaux, le procureur de la République de Pontoise, a déclaré que l’homme marié avait une relation amoureuse avec la victime. Une histoire à laquelle il souhaitait mettre fin.
Le suspect, placé en garde à vue, a reconnu les faits. Il a été mis en examen le vendredi 23 avril dernier pour « homicide volontaire ».
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